Il ne m’en fallait pas plus pour me décider, j’ai donc acheter le livre AVANT que le film sorte. kittymelo Le 15 Mars 2018 à 08:18 Intéressant sans pour autant que l'histoire soit dingue. Virginia Neville : femme de Robert Neville, elle meurt de la même maladie que sa fille, mais Neville refuse de l’incinérer. Et même, osons le terme, un chef-d'œuvre du genre, dont la lecture marque durablement. Comme dans le film, Robert Neville trouve une femme dehors a peu près au milieu du livre. La mésaventure avec ce premier est d’ailleurs assez touchante. Mais ça m’énerve qu’ils aient repris le même titre que ce livre culte pour faire un truc bien différent et bien hollywoodien à la place (et qui est bien mais qui est loin d’être le film de l’année)! Le film montre un homme en mouvement, ses actions dans l'espace, sa vie quotidienne lorsqu'il parle à son chien ou à des mannequins de magasin, en faisant ses courses virtuelles. Qui veut ainsi sa peau et pourquoi ? C’est un livre qui me tentait depuis pas mal de temps. Mais là ils ont changé la BASE du livre: donc pourquoi avoir repris exactement le MEME titre que celui-ci!!! J’avais également beaucoup apprécié le film avec Will Smithregrettant juste une fin un peu trop hollywoodienne. Mais pas des vampires à la Twilight hein. – 2007 : Je suis une légende, film américain de Francis Lawrence avec Will Smith. Mais WTF? Alors que la fin du livre est juste magnifique, surprenante et donne tout son sens au titre “Je suis une légende”. Aaah Je suis une légende ! Il pense que c’est une autre survivante donc ils vivent ensemble, et ils commencent même à tomber amoureux. Tu donnes vachement envie de lire le livre ! Parce que là quand on a lu le livre:GROSSE DECEPTION! Bon, vous vous doutez que le film étant vieux de six ans (FFS comme ça passe vite! Il n’y a qu’à voir la programmation récente des cinémas : "2012", "La route", et "Le Livre d’Eli" rien que pour ces dernières semaines…. et autres phénomènes paranormaux. Autant je me suis ennuyée à la lecture du livre… Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. Le film montre un homme en mouvement, ses actions dans l'espace, sa vie quotidienne lorsqu'il parle à son chien ou à des mannequins de magasin, en faisant ses courses virtuelles. Tout le monde connait le film avec Will Smith qui a fait un carton à sa sortie en 2007. – 1964 : Je suis une légende, film italien avec Vincent Price, titre original L’Ultimo Uomo Della Terra. Et comme souvent, quand Hollywood décide d’adapter quelque chose sur grand écran, que ce soit un livre, un jeu vidéo ou n’importe quoi, l’amateur de l’oeuvre originale est déçu. Je suis une légende, Richard Matheson Un livre apocalyptique qui se trouve être au final une réflexion sur la société elle-même. Précurseur du genre \"apocalyptique\", Matheson préfigurait tout un pan de lunivers de la SF contemporaine (paysages urbains ravagés, épidémie meurtrière, humanité en dérou… Ce qui devient plus gênant mesdames et messieurs c’est que dans le film, le héro est un grand médecin de l’armée Américaine qui sait parfaitement ce qu’il se passe, qui a un labo dans sa cave (qui n’en a pas un ? pensa-t-il dans un éclair. ". Robert Neville se sacrifie après avoir trouvé un vaccin pour sauver tout le monde, pour qu’une pauvre femme et son gosse puissent survivre et l’amener dans une colonie de survivant. Mais bientôt le livre … On découvre qu’ils ont crée une nouvelle société, avec ses nouvelles lois, etc. Je suis une légende par Richard Matheson aux éditions Gallimard. Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail. Ni une, ni de… Précurseur du genre « apocalyptique », Matheson préfigurait tout un pan de l’univers de la SF contemporaine (paysages urbains ravagés, épidémie meurtrière, humanité en déroute…). Et ils ont une peur bleue de Robert Neville, qui sort le jour pour les poignarder avec des pieux. Alors que la fin du livre est juste magnifique, surprenante et donne tout son sens au titre “Je suis une légende”. Et comme souvent, quand Hollywood décide d’adapter quelque chose sur grand écran, que ce soit un livre, un jeu vidéo ou n’importe quoi, l’amateur de l’oeuvre originale est déçu. Copyright © 2020 — Made with ♥ and intention by, Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre), Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre). En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. + Lire la suite. Servi par un style simple et fluide mais également précis et vivant, allant de l’image bien sentie « la colère se répandit en lui telle une traînée d’acide » au cliché le plus plat « le cœur de Neville battait si fort que sa poitrine semblait prête à éclater« , ce récit non dénué d’un certain humour (comme le « vampire musulman »), remplit parfaitement sa mission : celle de divertir tout en faisant (quelque peu) réfléchir. Une réussite a tout point de vue ! J’ai aussi eu du mal à voir les cheveux blonds et les yeux bleu de Will Smith. L'adversaire d'Emmanuel Carrère, Crime et châtiment... « J’ai fait HEC et je m’en excuse » (F.Noiville), « On vous rappellera… » (S.Talneau), « Je suis morte et je n’ai rien appris » (S.Colleter) : radiographie de l’élite côté campus, Stupeur et tremblements d’Amélie Nothomb : De cadre sup’ à dame pipi, l’enfer des bureaux japonais vue par une jeune belge, « Bonjour paresse » de Corinne Maier : Travailler moins pour vivre plus, Extension du domaine de la lutte par Michel Houellebecq : Contes de de la frustration ordinaire, Do you like your job ? C’est avant tout son héros qui est le centre de l’intrigue, son expérience humaine hors norme : l’histoire d’un homme face au pire cauchemar qui soit : être le dernier homme sur terre après que la race humaine ait été décimée ou tout du moins transformée en créatures assoiffées de sang. Livraison gratuite dès 25 € d'achats. J'ai pas accroché plus que je ne pensais à Je suis une légende, même si j'ai aimé la réflexion qu'apporte ce livre. Comme je l'ai dit je n'aurai pas dû lire ce livre en gardant en tête le film. Y’a donc une totale inversion des rôles : les vampires deviennent les victimes et Neville devient la “légende” qui fait peur. Ben oui, c’était plus facile d’expliquer le fait que le héros possède un labo ultra perfectionné dans sa p’tite cave comme ça. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Je suis une légende en est une belle illustration. Contribution le : 20/01/2014 11:10. Bref, le film a eu tellement de succès qu’une suite avait été annoncée, sans nouvelles à ce jour. On relève aussi au passage une réflexion sur les livres, symbole du savoir humain également présente dans « La route »: « Tous ces livres songea-t-il, en secouant la tête. Bien loin des créatures romantiques et sulfureuses d’une Anne Rice et encore moins d’une Stephenie Meyer, Matheson innove en faisant du vampire, un être scientifiquement explicable contrairement aux classiques du genre qui le cantonnent à un monde occulte et ténébreux « caché derrière le voile opaque de la légende et de la superstition« . Cristallisant les craintes de son époque (le clivage Est-Ouest et la peur du nucléaire, les armes bactériologiques et la perte de la foi), il trouve plus que jamais écho aujourd’hui, en cette ère de guerre contre le terrorisme et de dérèglement climatique. Je suis une légende est un livre vraiment prenant car il raconte l’histoire peu commune de Robert Neville. Je comprend bien évidemment qu'ils ont du l'adapter, mais c'est bon à savoir. Préparez vos kits d’assassin et entrez dans le monde d’Assassin Royal ! Je suis une légende (I am Legend) 1957 – 3 – PREMIERE PARTIE JANVIER 1976 ... Il jeta le marteau sur le divan du living-room, alluma une autre cigarette et but un coup. *** Enfin, pour conclure, à mon grand désespoir de future bibliothécaire, encore cette phrase : Comme tout ceux qui ont lu ce livre je lu en une apres midi, sans pouvoir me stopper. ^Je le répète, si c’est pour faire un truc totalement différent(et même la fin), ils auraient dû ne pas prendre le même titre que le livre et juste dire que le film est inspiré de celui-ci! Ce titre avait sombré parmi les la liste des « titres à lire » qui ne cesse de s’agrandir. Les lecteurs/lectrices ont la cote sur les sites de rencontre... Les auteurs se présentent : Ambre Kalène, auteur de "Incarnata mène l'enquête", Les auteurs se présentent : "La fondation Popa" de Louis-Stéphane Ulysse, La route de Cormac McCarthy, « Marchant sur le monde mort comme des rats tournant sur une roue », La science de la littérature : les effets de la fiction sur notre cerveau, Présentation BUZZ… littéraire : « Les livres, de bouche-à-oreille », « Bel-ami » de Maupassant : « Il avait cueilli sans peine son âme légère de poupée. Un terrible virus contamine de nombreuses personnes comme sa famille , sa femme et ses fils , les contaminés deviennent très agressifs et assoiffés de sang et les obligent à se cacher de la lumière du jour. – Troisièmement, et là je crois que c’est le PIRE : ce que la population humaine est devenue. (…) Pourquoi tant de sauvagerie ? Dans Je suis une légende le livre, on sait vraiment tout ce qui se passe dans la tête du héros, Robert Neville, puisque c’est à travers sa vision que l’histoire est racontée. L’auteur parvient à accrocher son lecteur en restituant avec justesse les sentiments qui animent son héros (dans le genre « hard-boiled » -dur à cuir- de roman noir) : peur, angoisse, détresse (arrosée de rasades de whisky jusqu’à en perdre conscience : « Il se mit à boire au goulot, à grandes lampées, plein de haine contre lui-même, subissant comme une punition la brûlure de l’alcool le long de sa gorge« ), colère, haine, folie et parfois rémission, moment d’accalmie (où il en arrive à rire par autodérision). Je suis une légende. Mais voilà récemment, je suis tombé sur l’article d’If is Dead. Dans un sens, nous nous apparentons à des révolutionnaires, tenus de prendre le pouvoir par la violence. » ; « Comme il est facile d’admettre l’invraisemblable avec un peu d’habitude.«  D’ailleurs, en ces temps de crise, de nouveau les oeuvres traitant de la fin du monde et de l’écroulement de la civilisation sont à la mode. Plus qu’une simple histoire d’horreur, Matheson cherche à sonder les sociétés humaines. Elle … Effectivement ils ont changé l’idée principale du livre! Là, ils craignent l’ail, ne sortent que la nuit, meurent avec un coup de pieu dans le cœur, tous les codes de la légende des vampires sont là. Une étrange relation s’installe entre eux tout au long du livre. Mais le pivot de sa réflexion (repris par Mc Carthy dans La route) repose sur le retour à la barbarie, au primitivisme qui guette tout effondrement de civilisation avant de reconstruire « une société nouvelle » : « Etait-ce là leur société nouvelle ? Ils sont intelligent, parlent, ont gardés leurs aspect humain, etc. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Je suis une légende, classique de la science-fiction, avait déjà connu deux adaptations cinématographiques avant celle de Lawrence, l'une d'Ubaldo Ragona en 1964 avec Vincent Price, l'autre, baptisé Le Survivant, de Boris Sagal en 1971. Merci à toi. Sans pour autant trop en faire. LiliGalipette 03 avril 2012: Signaler ce contenu Voir la page de la critique. ». BUZZ… littéraire : Critiques livres, romans et analyse, Rattrapage 2009 : jeunes talents littéraires de L.A à Las Vegas en passant par Lyon…, Flammarion lance un site spécial pour le nouveau roman de Nick Cave, Je suis une légende, Richard Matheson, célèbre auteur (et scénariste) américain de science fiction à l’origine journaliste, publiait en 1954 -en pleine guerre froide-, à l’âge de 28 ans, l’un de ses romans culte aux côtés de « L’homme qui rétrécit », adapté au cinéma à 3 reprises (voir ci-dessous*), bien avant « La route » de Cormac Mc Carthy, . Le film prend des libertés incroyables par rapport au livre, au point de modifier totalement la signification du titre “Je suis une légende”. bonne performance de Will Smith, univers effrayant, on ressent bien la solitude du héros dans un New York à l'abandon bluffant de réalisme. Du coup j'ai abordé cette lecture avec le film en tête... Je pense que c'était une erreur tellement les deux sont différents. En effet, si le pitch est le même, l'histoire est différente. Le film est pas mauvais en soit, mais BORDEL, il aurait été culte si il avait suivi le bouquin. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Mon Avis: Je Suis une Légende fait parti de ses livres que j’ai lu il y a bien des années durant mon adolescence et qui m’avait, à l’époque, marqué. En ayant lu le livre on se rend compte qu’il y d’énormes différences avec le livre. Si ce court récit peut faire sourire par certains rebondissements et explications pseudo-médicales, il n’en reste pas moins une histoire originale (au moins pour l’époque ! Je dis "tiré du livre", mais je devrais dire "inspiré". Je suis une légende Richard MATHESON Titre original : I Am Legend, 1954 Première parution : New York,USA : Gold Medal Books, 1954 Traduction de Claude ELSEN Illustration de Jean-Yves KERVÉVAN DENOËL (Paris, France), coll. Folio SF n° 53 Dépôt légal : avril 2001 Réédition Parce que bien souvent, le livre est nettement mieux que le film. Avec cette fin, “Je suis une légende” raconte donc la “légende” de Robert Neville, ce grand américain qui se sacrifia pour sauver l’humanité. The End of the Fucking Club – Mixtape Janvier 2018. Alors pour ceux qui se souviennent pas de la fin originale, cliquez ici et pour ceux qui projettent de voir le film prochainement, revenez plus tard Dans le film, on a des pseudos zombies vampires qui savent faire que “Graou” et qui ont l’air très très méchant. Interview Bénédicte Martin (« Quelqu’un quelque part est foutu ») : Interview d'Olivier Adam (2004), recueil de nouvelles "Passer l'hiver", Petite discussion entre écrivains : Quand Frédéric Beigbeder rencontre Nicolas Fargues…, Chuck Palahniuk, entre chaos et rédemption : Portrait et Entretien avec l’auteur de Fight Club, Interview Estelle Durand et Claire Duvivier fondatrices des éditions Asphalte. Une construction efficace sous forme de puzzle Passant de la survie à tout prix à l’abattement, il montre comment un homme lutte contre la tentation de la mort, la solitude et le fonctionnement de cet incroyable instinct de vie (« La vie était donc plus forte que les mots et la la volonté ? Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Le lecteur ne comprend pas immédiatement le contexte, Matheson va lui divulguer les pièces du puzzle au fur et à mesure, aiguisant ainsi sa curiosité. Pour les autres : dans le film, on a le droit à une magnifique fin cucul à l’américaine. La fin du livre quand a elle est tellement forte qu'elle donne beaucoup a réfléchir. Je suis une légende a entièrement été tourné à New York, du 23 septembre 2006 au 31 mars 2007. Le film est en train de passer à la télé et ça m’exaspère! Certain livre vous plaise, d'autre vous passionne, et il y en a qui vous captive." Francis Lawrence, 2007. Par contre, dans le livre, Robert représente une vraie menace aux yeux des vampires. Et c’est à partir de là qu’on commence à tout comprendre. Matheson analyse aussi la notion de monstre qui se révèle toute relative (qui est le monstre de l’autre ?, une simple question de point de vue…) et dont il fera l’habile dénouement de son roman. – Et dernièrement, et là y’a du gros SPOILER puisque je vais parler de la fin du livre. le film est de 2007 !! Dans le livre, Robert Neville n’a STRICTEMENT aucune notion de médecine (du moins au début), il est perdu et ne comprends pas trop ce qui se passe et pourquoi tout part en quéquette comme ça. Alors que dans le film, on a le droit à un New York des années 2009-2012. Merci pour cette critique tellement plus objective que tout ce que j’ai pu lire. Comme tout ceux qui ont lu ce livre je lu en une apres midi, sans pouvoir me stopper. La fin est tellement forte dans le livre, que ça doit être à mon sens le but de l'adaptation. Signaler: AshySlashy. Comparaison "je suis une légende" livre et film 18 Janvier 2008, 12:24pm | Publié par Rêve . Et encore moins la fin qui est surprenante à souhait. Mais, au-delà de cet héritage, Je suis une légende est avant tout un très grand roman d'horreur comme de science-fiction (davantage que de fantastique, justement du fait de la rationalisation du vampirisme — qu'on la juge convaincante ou pas). Il ne faut pas bien longtemps pour comprendre de quoi il retourne… Mais si Matheson reprend ici les codes classiques du vampire, il en réinvente le genre en l’orientant vers une fable d’anticipation. Ca se lit super facilement, on est vite plongé dans l’ambiance, bien plus oppressante et noir que celle du film. Le malheur du bas d'Inès Bayard : comment écrire le viol sans pathos (jeune auteur rentrée littéraire 2018), Les goûts littéraires de Brigitte Macron : sa passion pour Flaubert, Wattpad : l'usine à histoires au succès statistiquement programmé, Kamel Daoud sur l'écriture en français, langue de "la digression, la dissidence", Interview : l'éditrice de Delphine de Vigan explique son métier d'éditeur (Karina Hocine, éditions JC Lattès), Ecole bienveillante : apprendre à mettre des mots sur ses émotions pour enrayer la violence. Comme dans le film, Robert Neville trouve une femme dehors a peu près au milieu du livre. Mais à la fin, il s’avère que cette jeune femme est en fait une vampire (connasse). Retrouvez les 3134 critiques et avis pour le film Je suis une légende, réalisé par Francis Lawrence avec Will Smith, Alice Braga, Charlie Tahan.

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