Différent du tourisme littoral, il se pratique en montagne et est parfois vécu comme intrusif par la population locale. Le Covid n’aura pas fait le vide mais le tri ! Enfin moins d'avions et de bateaux ! Fini le tourisme qui fout Venise à sac, dégrade la lagune avec ses rafiots déments ! Comme si le temps s’était arrêté. Le 27 juillet 2017, quatre activistes ont attaqué un car de touristes à Barcelone, crevant ses pneus et peignant « le tourisme tue les quartiers » sur le véhicule. Associé aux stations balnéaires, le tourisme balnéaire est certainement le type de tourisme le plus répandu. On s’est penché sur la question dans le cadre de notre rendez-vous mensuel #SauverLePrésident, en partenariat avec Le Parisien, Konbini News et France Culture. Un facteur de croissance et de … Il y a 2 semaines, ici même l’excellent François Perroy nous présentait une interview du sociologue Rodolphe Christin qui semblait nous annoncer la fin de tourisme.. En fait, Rodolphe Christin n’annonce pas la mort du tourisme et, c’est peut-être plus troublant encore, il appelle de ses vœux la fin du tourisme. Fin du cycle Delsey et Dysney ! En 2000, nous étions « seulement » environ 700 millions à voyager.Ce chiffre a quasi doublé en moins de 20 ans. Le cycle des masses commercialisées et des grandes surfaces de tourisme ou de culture. Les chiffres du tourisme en 2018. Mais la crise leur a fait voir ce qu’était… le vide. Simplement, « la sécurité sanitaire devra faire partie intégrante, peut-être pour toujours, des produits et du “story telling” des fournisseurs de services ». Avant la pandémie, déjà, des destinations mythiques réfléchissaient à des mesures radicales face au trop-plein de touristes. Ce fait divers illustre une conséquence du tourisme de masse. Il est connu comme la première forme de tourisme de masse et a un côté sportif. Fini le futile ! La place de la Concorde, à Paris, entourée seulement de quelques voitures. Le tourisme de masse est un mode de tourisme qui est apparu en raison de la généralisation des congés payés dans de nombreux pays industrialisés, la croissance du pouvoir d’achat, dans les années 1960 permettant aux « masses » populaires, à la part la plus importante de la population, de voyager et de soutenir le secteur économique du tourisme [1]. Le tourisme de masse se manifeste par une « airbnbfication » de la capitale, un nouveau nom donné au phénomène de mise en location saisonnière des centres-villes. La crainte majeure des compagnies mais également de tous les autres acteurs du transport aérien : aéroports, constructeurs, motoristes, agents de handling et même les agents de voyages, est de constater une désaffection du public envers ce mode de transport. Tourisme de masse : des régions au bord de l'asphyxie. En 2017, nous arrivons ainsi à quasi 1,4 milliards de touristes dans le monde. Voyager responsable : vers la fin du tourisme de masse ? Image mignature : Photo de Kai Pilger provenant de Pexels De là à sonner le glas du tourisme de masse ?