Journalistes muselés, certains étaient bien contents de l'être comme on le remarque, propagande, fake news, tout était fait pour maitriser l'information. Lire ses 202 critiques, Suivre son activité Film sur le génocide ukrainien qui fit 2,6 à 5 millions de morts, «L’Ombre de Staline» remet les pendules à l’heure sur le «miracle soviétique». [CRITIQUE] : L’ombre de Staline. Synopsys de L'ombre de Staline Pour un journaliste débutant, Gareth Jones ne manque pas de culot. Publicité | Reste tout de même un long-métrage très maîtrisé et remarquablement interprété (James Norton, Vanessa Kirby et Peter Sarsgaard), qui réussit pleinement sa plongée dans des années 30 où les démocraties européennes sont en crise et où l'Union Soviétique demeure encore un mystère : allié potentiel contre le fascisme ou régime tout aussi dangereux ? Le film rend un bel hommage à cet homme et c'est déjà très bien, mais je suis un peu resté sur ma faim. L’ombre de Staline est une critique en règle d’un régime qui n’a pas compté ses efforts pour se maintenir au pouvoir, même au prix de millions de vies d’innocentes victimes. La cerise que le gâteau, pour certains, ce sera de voir l’auteur de "1984" (Orwell), qu’on rencontre ici et là, tisser la trame du drame alors qu’il a l’idée d’écrire son fameux livre "La ferme des animaux". Excellence de la réalisation (Agnieszka Holland), plus excellence des acteurs : ses deux points forts ? Heureusement que l'interprétation est globalement plutôt bonne : cela sauve le film du naufrage. Ehsan Mirhosseini, Kaveh Ahangar, Alireza Zareparast, Avec Cette histoire est vraie, bien interprétée, bien racontée par Agnieszka Holland. Après avoir décroché une interview d’Hitler qui vient tout juste d’accéder au pouvoir, il débarque en 1933 à Moscou, afin d’interviewer Staline sur le fameux miracle soviétique. C’est pourtant ce Mr Jones (qui ne fera pas long feu dans la réalité historique), qui fait la couverture de l'Holodomor (la grande famine ukrainienne des années 30). Avec "Pokot", son précédent film, Agnieszka Holland parvenait avec justesse à allier le fond et la forme, et c'est ce qui manque un peu à ce film qui est surtout intéressant pour l'histoire qu'il raconte à défaut d'être totalement fascinant ou captivant. Le film devient alors quasiment noir et blanc, alors que peu avant, les lumières éclairaient les écarts orgiaques d’un monde désinvolte, voire collabo, Duranty en tête, où l’on entend dire : que signifie "dérangé" dans un monde "dérangé" ? 1933, Gareth Jones, un jeune reporter gallois avide de vérité, vient de réaliser un interview d'Hitler, fraîchement élu. La critique et l’avis film de Bulles de Culture. L’Ombre de Staline (Mr. Jones) d’Agnieszka Holland aurait dû sortir au moment du confinement. L'ombre de Staline est un bon film, l'acteur principal est excellent, une histoire assez sombre présentée subtilement. Le héros, Gareth Jones, reporter honnête et courageux, est magnifiquement interprété par James Norton. Synopsis : Pour un journaliste débutant, Gareth Jones (James Norton) ne manque pas de culot. Ceci constitue, j’en suis persuadé, l’un des plus monstrueux crimes de l’histoire, si terrible que les futures générations auront du mal à croire que cela ait pu avoir lieu. Tout-à-fait dans les cordes du pasteur de la série Grantchester (James Norton). Un grand film baroque et original qui, à travers les yeux dâun jeune homme, aussi aventureux que journaliste, raconte lâeffondrement qui guettait le monde avant la deuxième grande guerre. Lire ses 220 critiques, Suivre son activité Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. à lâheure des fake news et de la post-vérité, lâaventure de Gareth Jones a le mérite de sonner comme le rappel de nos aveuglements collectifs. à trop vouloir forcer le trait, le film manque toutefois de subtilité et se perd dans une esthétique un brin surannée. Avant-dernier film d’Agnieszka Holland (Son dernier film Charlatan n’est pas encore sorti), L’Ombre de Staline, tourné en 2019, s’inspire librement de la vie de Gareth Jones, journaliste gallois. Lire ses 339 critiques, Suivre son activité Recrutement | Revue de presse | Joanna Scanlan, Nathalie Richard, Nasser Memarzia, Avec 463 abonnés Staline est malin et retord : il dissimule soigneusement sa vilenie au monde entier utilisant tous les moyens possibles pour assurer sa dictature sous prétexte d'assurer la réussite de la révolution communiste. Pour un journaliste débutant, Gareth Jones ne manque pas de culot. Cary Joji Fukunaga, Avec Qui sommes-nous | De la neige, de la vraie. C’est toujours magnifique la façon dont Agnieszka Holland raconte les histoires de la grande Histoire . " J'ai comme l'impression que l'on a encore des années de films sur la sombre période du Stalisme et du nazisme en Europe. II. 190 abonnés Le journaliste Gareth Jones fait part de son interview de Hitler à l’équipe de son employeur Lloyd George. L’AVIS DU « MONDE » - À VOIR. Les pires heures du régime stalinien, moins souvent présentées au cinéma que l'horreur nazie, aurait mérité un bien meilleur traitement. Entre thriller, film dâespionnage et témoignage mémoriel, ce remarquable nouveau film de la réalisatrice chevronnée Agnieszka Holland interroge la manière dont on forge lâhistoire. 2 abonnés Publicité | Lire ses 2 critiques, Suivre son activité Vladimir Orlowski, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire Teaser (2) VF. Pas de point faible, semble-t-il, si ce n’est quelques hypothèses dans l’histoire (so what ?! Daniel Craig, Rami Malek, Léa Seydoux, Avec Filmé comme un conte horrifique mais profondément vrai - sur les mensonges de l'Histoire contre la force des convictions. Personnage méconnu en France, Jones fait pourtant partie de … Peter Sarsgaard est notamment très bon. 132 abonnés Politique de cookies | Qui sommes-nous | "L’Ombre de Staline" est distribué par Condor Distribution tel un film d’investigation, mettant en avant le journaliste et personnage principal Gareth Jones (James Norton) parti trouver les réponses au miracle soviétique au cœur même de l’URSS et de l’Ukraine. La polonaise Agnieszka Holland signe un film historique qui impressionne, malgré quelques longueurs. La réalisatrice Agnieszka Holland raconte ce crime contre l'humanité et la propagande négationniste de Staline, sous forme d'un polar efficace et glaçant. L’Ombre de Staline – Bande-annonce L’Ombre de Staline, site officiel Découvrez les autres temps forts de l’actualité culturelle lyonnaise, sur le guide pour sortir à Lyon : la fête des Lumières (Lyon) , fête des Lumières 2020 , le Festival Lumière , le festival Lumière 2020 , les Nuits de Fourvière 2021 . Accueil; Culture « L’ombre de Staline », une vérité indésirable. Lire ses 52 critiques, Suivre son activité On retrouve des similitudes avec ce qui se passe de nos jours, ce qui est assez terrifiant. 21 abonnés Après avoir décroché une interview d’Hitler qui vient tout juste d’accéder au pouvoir, il débarque en 1933 à Moscou, afin d’interviewer Staline sur le fameux miracle soviétique. Alors que Moscou a faim : Staline fait organiser méthodiquement la famine de l'Ukraine ("голодомо́р"= prononcer GOLODOMOR ou souvent Holodomor). Et le cinéma, la mise en scène, ce n'est pas ça. Un poète. A.G. Pas facile de comprendre comment ce film, pourtant basé sur une histoire extraordinaire, parvient à être si décevant. Découvrez les 20 critiques de journaux et des revues spécialisées pour le film L'Ombre de Staline réalisé par Agnieszka Holland avec James Norton, Vanessa Kirby, Peter Sarsgaard, Joseph Mawle. Mr Jones est pourtant un éteignoir ("rather dull"), comme le lui reproche l’ex-prix Pulitzer Duranty, "bien installé" à Moscou. D'une toute autre ampleur que Katyn (raconté par Wajda), l'Holodomor, autrement dit la famine qui ravagea l'Ukraine au début des années 30 (des millions de morts) fait aujourd'hui l'objet d'un film d'Agnieszka Holland, à travers le prisme d'un journaliste gallois, Gareth Jones, qui le révéla aux opinions publiques occidentales, sans être véritablement entendu. CGU | Nicolas Bedos, avec « L’Ombre de Staline », d’Agnieszka Holland. Si L'ombre de Staline reste donc un film mineur sur cette sombre période de l'Histoire, il permet aussi d'avoir un point de vue plus original que ceux que l'on a pour habitude de voir. Comment ruiner un sujet passionnant ? 156 abonnés Sidérant de beauté et de profondeur. Au final l'impression que laisse le film est un intense goût d'inachevé. Le vendredi 13 mars 2020 à 20h, projection du film L’Ombre de Staline d’Agnieszka Holland au Cinéma Le Balzac de Paris. Au fil de ce polar historique touffu et prenant, le destin du journaliste Gareth Jones, qui se battit pour la vérité, prend toute sa résonance. Le film d’ Agnieszka Holland se termine un an avant cette date quand la terre entière commence à comprendre que le paradis de Staline ne ressemble pas à ce que l’on raconte. James Norton dans le rôle principal en est le porte-parole salutaire. L'Ombre de Staline, un film de Agnieszka Holland | Synopsis : Pour un journaliste débutant, Gareth Jones ne manque pas de culot. Lire ses 6 017 critiques, Suivre son activité 16 abonnés Pour le quotidien Le Parisien , L'Ombre de Staline propose un récit original bien documenté « Inspiré d'une histoire vraie, « l'Ombre de Staline » est un polar ponctué de séquences terrifiantes, mais aussi une réflexion sur la propagande et le totalitarisme. Le film est classique mais il fait le boulot, avec au bout un trouble que seul le visionnage d’un film en salles peut procurer. Le parallèle avec le roman de Georges Orwell est doublement une mauvaise idée : trop appuyé à l'écran, on ne peut que penser à quel point il vaut mieux relire La ferme des animaux que subir ce téléfilm historique. Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com. Mais c'est hélas traité d'une certaine manière cinématographique que ça ne donnera pas trop envie à un large public. A cause d'une réalisation minable, d'un scénario truffé d'invraisemblances, et d'une interprétation superficielle, ce film ou plus exactement ce navet sombre dans l'indigence et finit par ennuyer profondément le spectateur. Rien de James Bond. Le pire l'attend quelques jours plus tard en Ukraine où l'horreur de la famine de l'Holodomor détruit des millions de vies... L'ombre de Staline décide de nous raconter l'histoire d'un journaliste débutant qui va aller enquêter et découvrir les revers du stalisme mais également de l'Union Soviétique qui est loin d'être le rêve qu'il croyait. 1 abonné » [ 6 ] . A l'heure des fake news et de la montée des totalitarismes, ce film est important sur le fond et redonne au journalisme ses valeurs fondamentales. : Il fait organiser la réquisition totale du grenier à blé de la Russie - l'Ukraine - de tout son blé pour le faire expédier vers Moscou et les centres névralgiques communistes de toute la Russie, quitte à faire mourir de faim des millions d'Ukrainiens. Ex. Lire ses 1 290 critiques, Suivre son activité L'histoire: En 1953, alors qu'il est au sommet de son règne de terreur, Joseph Staline est frappé en pleine nuit par une attaque cérébrale. « L’horreur particulière du régime est dans ce qu’on a fait à la campagne. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34â¬/minute), Avec La faim est littéralement filmée. Après avoir décroché une interview d’Hitler qui vient tout juste d’accéder au pouvoir, il débarque en 1933 à Moscou, afin d'interviewer Staline sur le fameux miracle soviétique. Par ce film un peu académique mais passionnant, la réalisatrice polonaise Agnieszka Holland rend aussi hommage à sa mère, journaliste. Au-delà de ses images chocs et de ce retour sur un fait réel trop peu connu et encore tabou, le film n'embrasse pas son plein potentiel. Et sur le fond, cela donne tellement à réfléchir. Préférences cookies | On peut s'interroger sur la cécité de la presse, qu'elle soit bourgeoise ou encore plus communiste, évidemment, qui n'a jamais parlé de ça. L'ombre de Staline se penche sur le génocide perpétré en Ukraine par le dit Staline et connu sous le terme d' Holodomor (littéralement « extermination par la faim »). Après avoir alerté sans succès des dangers que représentait la prise de pouvoir d’Hitler, qu’il venait d’interviewer, celui-ci voit son poste supprimé suite à d’importantes coupes budgétaires dues à la crise économique. Licencié par Lloyd George, il part en tant que journaliste indépendant à Moscou dans le but d’interviewer Staline. Le film étire dans de longues scènes vaines une histoire qui aurait mérité d'être plus nourrie. 46 abonnés Le film comporte une poignées de scènes presque insoutenables au cœur d'une Ukraine dévastée, qui contrastent avec l'opulence des dîners moscovites. En 1933, le jeune journaliste britannique Gareth Jones, talentueux et idéaliste, va se retrouver confronté au stalinisme en arrivant à Moscou. La cinéaste signe un film classique, servi par une belle reconstitution des années 1930, sur laquelle repose un récit original bien documenté, écrit par la réalisatrice. Kad Merad, David Ayala, Lamine Cissokho, De « L’Ombre de Staline » de Agnieszka Holland. Ce film lâatteste. Avec Dune, James Bond 25, Cruella. Synopsis : Pour un journaliste débutant, Gareth Jones ne manque pas de culot. Critique : On se demande parfois, et sans doute à tort, ce qui fait la différence entre un film de cinéma et un téléfilm. Si le sujet de fond est très intéressé, j'ai trouvé le film un peu décevant dans le traitement notamment lors de la deuxième partie. Avec un thème aussi puissant, Steven Spielberg aurait très certainement réalisé un chef d'œuvre à la fois mémoriel, émouvant et gravé dans nos esprits. Inscription : privilege-abonnes@histoire.presse.fr La première partie du film est digne des meilleurs films dâespionnage. CGU | Arrivé à Moscou, il descend à l’hôtel « Metropole » et apprend que son ami et correspondant a été assassiné alors qu’il s’intéressait aux événements en Ukraine. Mister Jones est un lanceur d’alerte britannique du temps où deux monstres surgissaient dans les années 1930 (Hitler et Staline). A voir et à revoir ! Ce jeune chevalier de la démocratie est une admirable figure de lâHistoire. En France, le film obtient une note moyenne de 3,9 ⁄ 5 sur le site Allociné, qui recense 14 titres de presse. Lire ses 3 429 critiques, Suivre son activité Cette séance sera suivie d’une discussion avec la réalisatrice et les historiens Iryna Dmytrychyn et Nicolas Werth. Puisqu’il fait froid, autant partir pour les grands froids soviétiques avec L’Ombre de Staline, thriller historique construit à la façon d’une enquête journalistique (Agnieszka Holland, la réalisatrice, est fille de journalistes). Grosse déception post covidienne. Un film "historique" donc, disposant de quelques qualités (une belle photographie, un acteur principal (James Norton) convaincant), mais au final manquant de charisme et de force émotionnelle : il y avait pourtant matière à fracasser l'âme beaucoup plus profondément avec de telles atrocités ! Les services AlloCiné | Quelques maladresses dans le scénario et défauts de rythme mais l'image sombre et glaciale, le son, la peinture de l'URSS/Ukraine sont le plus souvent justes et magnifiques. "L’ombre de Staline" (titre original "Mr Jones") est un film sombre et brillant à la fois. Et, plus précisément, de la découverte qu’il fit de l’Holodomor et de l’alerte qu’il lança via un communiqué de presse … De là à comparer cette période avec la notre, c'est sans doute sous-jacent dans le film mais le spectateur a toute latitude pour se forger sa propre opinion. Lire ses 382 critiques, de Captivant, bluffant, poignant... Côté mise en scène, Agnieszka Holland s'avère particulièrement peu inspirée : plans de coupe répétitifs sur des trains en marche, effets récurrents particulièrement lourds (accélérations, vitres fragmentées...), montage indolent. 59 abonnés Acteurs fabuleux. Mais quelle histoire ! En dénonçant les fake news et les pouvoirs corrompus, ce lanceur dâalerte est dâune troublante modernité. Pour un journaliste débutant, Gareth Jones ne manque pas de culot. Film démonstratif donc, un peu lourd parfois, mais la leçon dâhistoire est salubre, avec des moments très forts [...]. La partie en Ukraine est certes perturbante, car elle montre les terribles conditions de vie de ces gens, mais on assiste surtout à une sorte de survival avec Gareth Jones qui se bat pour rester en vie, alors que j'aurais préféré quelque chose de plus proche du journalisme d'investigation. : Inspiré d'une histoire vraie, « l'Ombre de Staline » est un polar ponctué de séquences terrifiantes, mais aussi une réflexion sur la propagande et le totalitarisme. Les crimes commis au nom du communisme, à l'époque de Staline, en particulier, restent encore largement méconnus. Si le travail d'Agnieszka Holland est le plus souvent particulièrement impressionnant, il est parfois gâché par une mise en scène esthétisante et maniérée, qui va un peu à l'encontre du souci d'authenticité.