Il y a 348 180 habitants dans le département de la Charente en 2020, la population légale officielle de la Charente est cependant de 353 288 habitants car le dernier chiffre officiel date du 31/12/2016 (populations légales de 2017, 2018, 2019 identiques). Dans le même temps, la reconversion vers l'économie tertiaire a été lente. La crise industrielle qui a également touché les campagnes charentaises y est pour beaucoup et le phénomène de l'exode rural a repris, le département ayant un taux migratoire négatif dans cette période particulièrement difficile. La persistance de ce déclin touche notamment Barbezieux-Saint-Hilaire, Jarnac, Ruffec, La Rochefoucauld et Confolens. Ce sont tous des cantons péri-urbains situés autour d'Angoulême ou semi-ruraux en forte expansion démographique pour au moins trois raisons majeures : un prix de l'immobilier beaucoup plus accessible pour les jeunes ménages, un coût du foncier nettement plus abordable et enfin une pression fiscale sur le foncier moins lourde que dans les villes. Ces communes sont souvent d'anciennes communes agricoles que la péri-urbanisation a considérablement changé. Comme dans la catégorie précédente, cette tranche de petites communes tend également à se réduire et leur nombre à diminuer. Eglise de l'ancien couvent des Jacobins. Leur chute démographique n'a pas été stoppée depuis le début du nouveau siècle, elles ont perdu une réelle attractivité alors que leurs cantons sont attractifs, à l'exception de celui de Barbezieux. À titre de comparaison, il est de surface quasi équivalente à l'arrondissement d'Angoulême, mais il est trois fois moins peuplé que ce dernier. Pour mémoire, la région a une densité de population très moyenne, près de deux fois inférieure à celle de la France métropolitaine, dont les densités respectives sont de 67 hab/km2 et 114 hab/km2. 2. Chaque année mentionnée dans le tableau ci-dessus indique les dates-clés de l'histoire démographique de la Charente dans la période contemporaine qui va du début du XIXe siècle jusqu'au siècle actuel. Ces deux arrondissements concentrent 81,5 % de la population charentaise en 2007. Elles se sont transformées en communes péri-urbaines ou semi-rurales et sont majoritairement situées dans l'aire urbaine d'Angoulême et dans celle de Cognac. Avec une baisse de 610 habitants entre 1975 et 2007, cette petite cité des bords de la Tardoire affiche une perte record de - 16,5 %. Un seul canton a plus de 20 000 habitants; il s'agit du canton de La Couronne qui est dix fois plus peuplé que le canton de Brossac, ce dernier étant le plus faiblement peuplé de la Charente. Le département de la Charente recense 35 cantons dont trois sont des fractions cantonales de la ville d'Angoulême, deux relèvent de la ville de Cognac ainsi que deux autres de Confolens. Phénomène de déprise urbaine au même titre que l'exode rural mais qui touche les cœurs des villes depuis les années 1970. Aujourd'hui, un habitant sur deux réside dans une commune de plus de 2 000 habitants dans le département de la Charente. Localisation et accès. C'est que l'agglomération cognaçaise a été traversée par une crise économique particulièrement dure avec la disparition de nombreuses industries tandis que des restructurations industrielles particulièrement lourdes ont pesé sur l'emploi. Tel qu'il se présente en 2007, le bilan démographique des villes de la Charente peut paraître à première vue globalement positif. De plus, la péri-urbanisation a cessé d'être le vecteur principal de la croissance démographique du département. Dans la région Poitou-Charentes, les deux premiers arrondissements de la Charente occupent respectivement les troisième et quatrième rangs par leur superficie tandis que celui de Cognac figure parmi les moins étendus de la région[N 2]. En 2007, la Charente compte 14 cantons sur 35 ayant plus de 10 000 habitants, soit 2 cantons sur 5. En effet, à l'intérieur des limites de son agglomération, toutes les villes de plus de 5 000 habitants sont en croissance démographique, y compris celles qui avaient perdu continuellement de la population depuis 1975, notamment Soyaux et Ruelle-sur-Touvre. Le département de la Charente-Maritime (17) est peuplé de 628 740 habitants. De plus, l'ancien petit centre industriel de Chabanais qui est situé dans le Confolentais est entré dans un déclin quasi irréversible, perdant même son statut de "commune urbaine" en 1982. Le nombre de Pacs a augmenté chaque année depuis 2002 à l’exception de l’année 2011, année depuis laquelle les couples ne peuvent plus signer trois déclarations de revenus différentes l’année de leur union. En Poitou-Charentes, seules Poitiers et La Rochelle la devancent. Ainsi ce phénomène de desserrement urbain autour des villes se vérifie-t-il dans la périphérie de Jarnac et de Barbezieux-Saint-Hilaire, même s'il est moins dynamique qu'autour des villes principales, il n'en est pas moins visible. L'arrondissement d'Angoulême avec une densité moyenne de 87 hab/km2 est non seulement le plus densément peuplé de la Charente mais il en est également le plus peuplé. Le nombre de logements de Saint-Yrieix-sur-Charente a été estimé à 3 080 en 2007. Par contre, la période 1990-1999 tranche nettement avec la précédente, étant plutôt négative pour la population rurale comme pour l'ensemble de la population départementale. Dans la seule période 1962-1975, cet arrondissement a perdu un dixième de sa population, affectant principalement les communes rurales. En effet, cet arrondissement cumule en 2007 44 communes sur les 97 communes de cette catégorie, soit près de la moitié (45 %). Risque d'être victime d'un acte de délinquance dans la Charente. Mentions légales; Politique de confidentialité; Gestion des cookies Au recensement de 1999, une certaine stabilité dans l'évolution de la population urbaine est constatée. La catégorie des communes de plus de 2 000 habitants se caractérise par une croissance démographique constante bien que le nombre de communes soit resté le même en 1999 et en 2007. Ce qui est le cas notamment de Champniers qui passe tout juste le cap des 5 000 habitants avec 5 001 habitants et affiche une croissance de + 8,6 %, ou bien encore de Roullet-Saint-Estèphe et de Brie qui ont franchi le seuil des 3 500 habitants avec respectivement 3 686 habitants (+ 4,6 %) et 3 652 habitants (+ 22,6 %), cette dernière affichant l'une des croissances démographiques les plus élevées du département. Tableau de l'évolution démographique d'Angoulême et de son agglomération urbaine de 1975 à 1999. Les Jardins et les Parcs de la Charente à visiter. Elles se caractérisent toutes par une véritable "hémorragie" démographique alors que ce sont des centres économiques importants auprès de leur canton ou de leur "pays". En 1999, la population rurale demeure majoritaire en Charente avec 53,1 % comme depuis le lendemain de la Seconde Guerre mondiale où cette proportion était beaucoup plus élevée 66,3 % en 1946. En 2030, la population de la Charente serait de 350 240, soit une hausse de 2 060 habitants (1%). C'est le quatrième arrondissement le plus peuplé de la région Poitou-Charentes, se situant après les arrondissements de Poitiers, Niort et La Rochelle. Cette "exurbanisation"[N 3] touche encore Angoulême et Cognac, principalement les quartiers populaires. En fait, cette croissance de la population rurale est imputable au phénomène nouveau de l'"exurbanisation" des villes principales (Angoulême et Cognac) et secondaires (Barbezieux, Jarnac, Ruffec et La Rochefoucauld) qui a commencé dès 1975. Population de la Charente, nombre d'habitants 2020 Population de la Charente en 2020 Il y a 348 180 habitants dans le département de la Charente en 2020, la population légale officielle de la Charente est cependant de 353 288 habitants car le dernier chiffre officiel date du 31/12/2016 (populations légales de 2017, 2018, 2019 identiques). Ces communes sont très souvent situées dans le "rural profond" et sont très peu attractives, sauf celles qui peuvent bénéficier d'une relative proximité d'Angoulême et de son agglomération urbaine, pôle urbain principal du département dont l'influence s'étend largement sur ces communes. Le chiffre de 2007 qui indique une population de 349 535 habitants correspond à celui de la population municipale (sans doubles comptes), la population totale étant elle de 362 528. La deuxième période est marquée par un déclin urbain continu de 1975 à 1999 où la population urbaine a perdu 7 016 habitants tandis que, dans le même temps, le département s'est accru, certes modérément (+ 2 564 habitants). Informations disponibles : Adresse postale, Téléphone, Fax, E-Mail, Maire, Coordonnées géographiques, Nombre d'habitants, Superficie, Altitude, Météo et Hôtel. En effet, ce mouvement n'a pas touché exclusivement Angoulême et Cognac qui demeurent les principales villes et agglomérations de la Charente mais il s'est également étendu autour des petites villes de l'armature urbaine de ce département moyennement urbanisé. Tout savoir sur le département de la Charente et ses habitants, L'ensemble des données concernant Nombre d'Habitants Charente 2020 Population présentées sur ville data sont librement reproductibles et réutilisables que ce soit pour une utilisation privée ou professionnelle, nous vous remercions cependant de faire un lien vers notre site ou d'être cité (source : Ville-data.com).Code pour créer un lien vers cette page Nombre d'Habitants Charente 2020 Population, Les données de la page Nombre d'Habitants Charente 2020 Population proviennent de SOURCES : Nombre d'habitants selon le recensement de la population de l'INSEE. 45.5% des habitants sont mariés alors que 54.5% des habitants de plus de 15 ans sont célibataires. Chabanais est d'ailleurs passée sous le seuil des 2 000 habitants en 1999. L'évolution démographique de la Charente est caractérisée par plusieurs phases, mais dans une vue globale, le département a peu progressé. Il n'en est pas ainsi des petites villes du département qui sont entrées dans une léthargie ou une crise urbaine de longue durée. Ainsi, ce sont surtout les villes de banlieue et les communes péri-urbaines qui affichent les plus fortes croissances démographiques, comme partout ailleurs sur le territoire national. Mais ce sont surtout Ruffec et La Rochefoucauld qui affichent dans cette même période des chutes démographiques plutôt spectaculaires et les plus importantes du département. Le recensement repose désormais sur une … Il est intéressant de relever que même si le canton de Barbezieux affiche une baisse démographique régulière entre 1975 et 1990, elle ne l'a pas été automatiquement pour la population rurale qui n'a cessé de croître, en partie au profit de la ville-chef-lieu de canton. Elle entre très rarement en ligne de compte pour les études démographiques car elle a l'inconvénient de contenir des doubles comptes c'est-à-dire des groupes de personnes comptés deux fois (lycéens et étudiants en internat, malades dans des hôpitaux, prisonniers dans des prisons, militaires dans des casernes...). C'est une population qui vieillit avec un indice de vieillissement de 112.6 personnes de 65 ans et plus pour 100 habitants de moins de 20 ans. À partir du recensement de 1975, elles ont régulièrement perdu de la population même si, quelquefois, la première a affiché une reprise démographique qui, cependant, n'a jamais été assez forte pour enrayer son déclin. La dernière modification de cette page a été faite le 20 décembre 2020 à 18:38. L’indicateur pris en compte est ici la population municipale. Ses habitants sont les Verteuillais et les Verteuillaises [1]. L'agglomération d'Angoulême et sa périphérie semi-urbaine contrastent nettement avec les autres villes dont l'évolution urbaine est nettement moins dynamique. Charente : Tourisme à voir à faire à visiter. Il se caractérise par une certaine stagnation démographique alors qu'il a connu de profonds bouleversements à l'intérieur de ses limites départementales, avec notamment l'émergence d'Angoulême comme principale agglomération. Nombre d'habitants Classement des villes par nombre d'habitants Charente Voir tous les … Ainsi, la continuité du phénomène de l'"exurbanisation" d'Angoulême mais également de Cognac profite à ces petites communes. Enfin, l'arrondissement de Confolens est le seul du département à ne pas compter de cantons dont la densité de population dépasse les 50 hab/km2 et il compte deux cantons avec une densité inférieure à 19 hab/km2. Carte des parcs et des jardins à voir en Charente et dans les environs. C’est plus flexible. Lors de ce recensement, le département comptait alors 8 villes de plus de 5 000 habitants dont Barbezieux (5 198 habitants) et Jarnac (5 042 habitants), ces deux dernières ont d'ailleurs atteint leur maximum démographique cette année-là[N 9]. Au recensement de 2007, ces communes se situent majoritairement dans l'arrondissement de Confolens qui est, pour rappel, le moins peuplé des arrondissements de la Charente et le plus rural. (Classement par ordre démographique de 2007). Tableau de l'évolution démographique de Cognac et de son agglomération urbaine de 1975 à 1999. De 1975 à 2007, la ville a perdu 566 habitants, soit - 18 %. Retrouver tous les lycées proposant un internat sur le secteur de la Charente, liste des lycées avec internats avis et coordonnées complètes. Elle s’est accrue aussi bien en population qu’en extension spatiale gagnant 2 communes entre 1975 et 1999 et totalisant 16 communes dans son unité urbaine. En Charente, le taux d’incidence, soit le nombre de cas pour 100 000 habitants, est en baisse pour la période allant du 16 au 22 novembre, passant à 106, contre 157 la semaine précédente. 1-4 place de l'abbaye. Nombre d'enfants par famille et évolution démographique. Les Résidences de Vacances de la Charente, liste des résidences de tourisme, coordonnées, site web, avis et tarifs de votre location en Charente, Charente : Avis Carte Résidences Vacances. Un grand nombre de ses communes rurales enregistre dans cette période une chute de population spectaculaire. Angoulême et son agglomération qui affichent une croissance démographique de 5 263 habitants est l'une des rares unités urbaines du département à croître. Dans la périphérie sud-ouest d'Angoulême, Mouthiers-sur-Boëme participe également à cet essor de la péri-urbanisation et fait partie des communes les plus attractives ; elle compte 2 442 habitants en 2007 et enregistre une croissance démographique de + 8,1 %. La densité de population du departement de la Charente est de 58,27 habitants par km². Du coup, Cognac et son agglomération ont cessé d'être attractives et ont perdu entre 1975 et 1999 5 486 habitants[N 10]. Saintes ( … Ces communes sont au nombre de 89 en 2007 contre 86 en 1999, soit 2 communes sur 5 appartiennent à cette tranche de communes. Même les communes de cette catégorie situées dans le canton de Jarnac et dans celui de Rouillac, tous deux situés dans la mouvance urbaine de Cognac et dont certaines communes font partie de son aire urbaine, bénéficient d'un réel essor démographique. Cette attractivité échappe certes à la ville-centre qui continue de perdre de la population (- 502 habitants) mais elle se confirme nettement dans (Classement par ordre d'importance de population). En cumulant la population des dix unités urbaines - dans leurs limites définies par l'Insee en 2010 -, la population urbaine est de 164 709 habitants en 2007 contre 159 438 en 1999, soit une légère progression de 5 271 habitants. Elle était la première agglomération urbaine de la région Poitou-Charentes devançant La Rochelle et Poitiers. Barbezieux-Saint-Hilaire a perdu 513 habitants, soit - 9,9 % et Jarnac - 534 habitants, soit - 10,6 %. Cette situation se vérifie également dans le département voisin de la Charente-Maritime où les proportions démographiques sont presque identiques. Triez les restaurants selon la cuisine proposée, postez vos avis et votez pour le meilleur resto de la Charente. En fait, ce petit centre progresse peu car il comptait 2 903 habitants en 1982 et avait perdu de la population aux recensements de 1990 et 1999. les villes de sa proche banlieue, qu'elles soient résidentielles ou ouvrières. Saintes ( Charente-Maritime ) Confession Catholique. Charente-Maritime en quelques chiffres. Parmi celles-ci, 9 communes ont plus de 5 000 habitants et sont toutes classées comme communes urbaines[N 5] ou en voie de l'être[N 6], dont 3 recensent plus de 10 000 habitants dont Angoulême qui compte plus de 40 000 habitants. Si l'on poursuit de façon linéaire cette évolution sur la base du taux d'évolution moyen annuel récent (2011-2016), le nombre d'habitants de la Charente en 2025 sera de 350 240 personnes, soit une hausse de 2 060 habitants (1%). En 2007, elles ne représentent plus que 14,1 % de la population départementale contre 14,7 % en 1999. Parmi les neuf communes de plus de 5 000 habitants, la moitié d'entre elles enregistre une croissance démographique positive avec quelques records de croissance comme ceux constatés à Saint-Yrieix-sur-Charente (+ 9,2 %), Champniers (+ 8,6 %) et L'Isle-d'Espagnac (+ 8,2 %). Ce constat se vérifie avec force dans les cantons péri-urbains de La Rochefoucauld, Saint-Amant-de-Boixe et Hiersac ainsi que ceux redynamisés de Montbron et de Blanzac-Porcheresse dans l'arrondissement d'Angoulême. Ainsi, entre 1975 et 1999, cette commune est-elle passée de 2 434 habitants à 1 944 habitants, affichant une lourde perte démographique de 490 habitants, soit - 20,1 %. Elle demeure nettement inférieure à la moyenne nationale qui est de 114 hab/km2 et elle est également inférieure à la moyenne de la région qui est de 67 hab/km2 en 2007. CHARTE D’UTILISATION DE SENACS 1. Certes, elle résiste mieux que les quatre autres villes secondaires précédemment mentionnées mais elle n'exerce aucune attractivité sur son canton. L’évolution démographique de ces différentes communes entre 1999 et 2007 est contrastée. Cette commune située dans le centre-ouest de la Charente-Maritime a toujours fait partie de l'ancienne province de l'Aunis. Savez vous quelles sont les villes de France où la population progresse le plus ? Cependant, la Charente demeure le 16e département le plus rural de France et le 1er de la région Poitou-Charentes[N 15],[3]. Dans cette période où l'urbanisation s'est considérablement développée dans les villes et a vidé progressivement les campagnes, l'arrondissement de Confolens affiche une décroissance démographique très importante. Toutes les activités sportives et de loisirs que l'on peut pratiquer en Charente ou à proximité de la Charente, Où aller se Promener en Charente faire une balade ou une Rando. Le mouvement s'est essoufflé mais il a continué autour d'Angoulême, certes à un rythme nettement moins rapide, tandis qu'il s'est arrêté autour de Cognac, Jarnac et Barbezieux. la répartion par catégorie sociale de la Charente, les chiffres de la délinquance de la Charente. Il s'agit en fait d'un petit centre en léthargie urbaine depuis de longues décennies et qui ne profite pas de l'influence exercée par Angoulême. Toutes ces petites villes enregistrent des pertes démographiques assez importantes. Leur densité de population demeure malgré tout extrêmement faible, atteignant la plupart quelque 10 hab/km2 en 2007, cas notamment des communes de Courlac, Lésignac-Durand, Mainzac et Sauvagnac et même 12 pour Saint-Laurent-des-Combes[N 8]. (En caractères gras, les 9 communes de plus de 5 000 habitants en 2007), (Classement par ordre d'importance démographique au recensement de 2007). Quant à l'arrondissement de Confolens à l'est du département, il se caractérise par un peuplement somme toute assez moyen. Ce léger "regain" de population résulte d'une politique d'urbanisation qui commence à porter ses fruits et qui profitera à terme à la ville-même de Cognac. Passé 60 ans l'espérance de vie restante des femmes est de 27.0 ans et de 23.5 ans pour les hommes.La France a la 6ème plus grande espérance de vie du monde pour les femmes mais seulement la 23ème pour les hommes. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Sur le long terme la population est passée de 339 828 habitants en 1999 à 348 180 habitants en 2020, soit une évolution de 2% sur une période de 21 ans. Il possède, comme indiqué plus avant, toutes les caractéristiques de la diagonale des faibles densités dont la faible densité de population en est un des aspects les plus marquants. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee.